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Nombreuses plages s'ouvrant sur une mer calme (bien abritée par le Cap-vert);
Pittoresques villages de pêcheurs, dont le mode de vie semble s'équilibrer entre les champs et la mer;
Ensoleillement quasi-permanent et chaleur adoucie par les alizés côtiers.

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De Bargny à Yenne
Mosquée de Bargny Guedj;
Plage de Sienndou.

De Yenne Todé à la Nougouna

Ici commence la zone des Falaises Rouges

Paysage très original où des falaises de couleur brique dominent de larges plages de sable blanc. Région très contrastée aux étonnants effets de couleur.
De nombreux villages s'échelonnent de criques en criques: Yenne-Todé, Yenne-Guedj, Nditakh, Niangol, Toubab-Dialaw, la Nougouna.
A Toubab-Dialaw, le pied de la falaise est sculpté par des grottes et des arcs-bouttants.

De la Nougouna à Popenguine

Le massif de Ndiass et les falaises rouges font place à un paysage plus monotone. Quelques belles plages entre les villages de Ntilène et de Ndéyane.

De Popenguine à Nguékokh

Les falaises reprennent pour atteindre leur point culminant au Cap de Naze (74 m).

De Nguékokh à la Somone et de la Somone à Mbour

Paysage continu de très belles plages, entrecoupé par les lagunes de l'embouchure de la Somone.

Très belles anses de Ngaparou, Saly Tap, Saly Portudal et Saly Niagnaral.

Mbour (83 km de Dakar)

Principale ville de la Petite Côte, Mbour est un centre important pour la pêche artisanale et industrielle, ainsi que pour le fumage du poisson.

De Mbour à Joal

Le littoral devient plus rectiligne et les petites anses font place à de nombreuses lagunes: marigots de Baling, de Warang, de Nianing et de Ponto.
L'anse de la Pointe de Sarène offre un site pittoresque. Villages de Mbodiène et de Ngazobil. Site de la Pointe Santi.

Joal (114 km de Dakar)

Ancienne escale portugaise, ville natale du Président Senghor, Joal étire ses vieilles maisons à étages et ses cocotiers le long d'une étroite langue de terre entre la mer et la lagune.
Ce petit port était connu depuis le XV^e siècle par les navigateurs portugais. Il était considéré comme un "bon port, agréable et salubre, où il y a beaucoup de vivres et de vin de palme".

Fadiouth

C'est un des sites les plus curieux du Sénégal et un des centres d'excursions les plus réputés.



L'île s'est constituée sur une accumulation de coquillages (essentiellement arca senilis) au milieu des palétuviers. On trouve de tels ammoncellements dans toute la région et leur origine humaine est attestée par la présence, à tous les niveaux, de poteries et de cendres. Les maisons de Fadiouth se pressent sur l'îlot minuscule (500 m de diamètre et 2 m d'altitude maximum). Les habitants, en majorité sérère (apparentés au groupe Niominka), ont des activités qui se répartissent harmonieusement entre la pêche (surtout en marigots) et les cultures saisonnières sur le continent (mil). Les coquillages séchés et les huîtres de palétuviers fournissent un appoint appréciable. Une île-cimetière est située de l'autre côté d'un bras de mer. Elle constitue une véritable colline d'arca senilis de 250 m de diamètre et de 10 m de hauteur, au sommet de laquelle se situe un calvaire.



A partir de Fadiouth commence de labyrinthe de marigots, de mangrove et de Tann, qui enserre les îles du Saloum.
A partir de Joal, on peut prendre la piste de Ndangane (un des points de départ pour les îles du Saloum) et possibilité de rejoindre la Pointe de Sangomar par Palmarin.



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